Informatique

 

  1. Identification des périphériques et Description en profondeur de l’entre d’un PC:

 

 

 

 

 

    • La carte mère

 

Il existe 2 types de carte mère de génération AT (du 8086 au Pentium) , attention avec des variantes de bus par exemple, le 8086 8 bits et le Pentium 32 bits et l’autre  le format ATX, la différence entre les deux est un premier lieu l’alimentation et au deuxième plan l’architecture des composants. Par exemple je ne trouverai un port AGP que sur les cartes mères ATX et un style de mémoire SDRAM qui ne peut être installée que dessus. De plus dans l’AT comme dans l’ATX, il existe des variantes pour le support du µPros tel que pour l’AT, support socket 5 à  9 et pour l’ATX, Slot1 et socket 370, de plus sur ces cartes on doit paramétrer le coefficient multiplicateur et la fréquence d’horloge du µPros. Pour le Slot 1 la configuration du microprocesseur est automatique de même que la tension d’alimentation, mais pour tous les autres support la configuration est manuelle de même pour la configuration de la tension d’alimentation et toutes ces configurations sont faites par des cavaliers (pas les personnes montant à cheval, mais un connecteur électrique faisant contacte ou non suivant son emplacement). Sur la carte mère on trouve aussi 2 connecteurs E-IDE pour la connexion pour les périphériques de stockage tel que HDD, FDD, CDRom, etc. Puis par exemple comme si dessus 1 connecteur de bus ISA, 6 connecteurs PCI et 1 AGP, 4 connecteurs de RAM, par contre en port de sortie ou entré ou les 2, 1 port parallèle, 2 ports série, 2 ports USB, 2 ports PS/2 (l’un pour le clavier et l’autre pour la souris). En générale le circuit intégré monté sur support est la ROM contenant le BIOS.

    • Le microprocesseur

 

Il existe plusieurs type de µPros en fonction des cartes mères et du connecteur sur celle-ci par exemple, La génération 486 à un support socket 5 et le Pentium II en Slot 1, leur architecture a su se développer de même que la vitesse et la mémoire cache et de même pour le coprocesseur arithmétique qui était avant un composant à part. Pour exemple le 8086 possédait un bus interne de 8 bits, d’une fréquence d’horloge (pour cadencer les instructions à tous les périphériques le reliant) de 4,71 MHz et d’une mémoire cache interne de 0 ko par contre il n’existait pas de circuit arithmétique et par opposition le Pentium II Intel à 333 MHz, possède un bus interne de 32 bits, une fréquence d’horloge de 333 MHz et une mémoire cache de 512 ko et possède un culculateur arithmétique (l’intégration de ce circuit c’est faite avec l’arrivé des premiers Pentium 75 MHz) A partir du µPros 486 DX 100 (version du 486 tournant à une fréquence 100 MHz) le ventilateur fut obligatoire pour dissiper la chaleur thermique. Par contre il existe aussi une varient sur les tensions d’alimentation en fonction des µPros de telle façon que du 8086 au 486, la tension était de 3 à 5 Volts et pour les Pentium au Pentium III la tension varie de 1,8 à 3,3 Volts.

    • La mémoire

Il existe plusieurs sorte de mémoire de la plus veille étant la SIMM 8bits et seulement des barrettes de 256 ko, 512 ko,       1 Mo, 4 Mo puis de l’EDO 16 bits à 1 Mo, 4  Mo, 8 Mo, 16 Mo puis la SDRAM 32 bits à 32 Mo, 64 Mo, 128 Mo et 256 Mo. Le temps d’accès diminue d’année en année avec l’évolution des µPros et des cartes mères (attention le Pentium 4 va révolutionner l’informatique avec 64 bits et son nom sera ITANIUM)

    • La carte graphique ou vidéo

 

Il existe plusieurs type de carte graphique en fonction du type de carte mère et de leurs bus la plus veille le MDA (monochrome) et CGA (4 couleurs) sur bus VESA puis le EGA (16 couleurs) sur bus ISA, puis les VGA (256 couleurs) sur bus ISA, le Super VGA (de 65000 couleurs) sur port PCI, XGA (16,7 millions de couleurs ou 24 bits) bus PCI et le AGP (32 bits couleurs) sur bus AGP. Sur les dernières générations à partir des cartes vidéo PCI certaines possède une sortie composite TV et de plus sur le µPros de la carte elle possède aussi un ventilateur et un type de mémoire en CMS de taille de 16 Mo, 32 Mo et pour les 3D de 64 Mo et non plus de type DRAM en circuit intégré monté sur support (pour les plus ancienne) ou VRAM. (Vidéo RAM) en clips.

·        Le Disque Dur

 

Un disque dur est caractérisé par sa capacité (actuellement de 4 Go à 80 Go) et par son temps d’accès à donner les données ou de les stocker (de 8 ms à 19 ms), vitesse de rotation des disques magnétiques (4500 tr/min pour moins de 1 Go, 5400 tr/min pour moins de 10 Go et 7200 tr/min de 10 Go au plus récent 80 Go à 10000 tr/min), présence d’une mémoire cache matériel et logicielle. Pour utiliser un HDD, il faut faire une partition (partage de l’espace d’un disque dur en plusieurs unité logique distincte) puis le formater (organiser les pistes et secteurs d'un support de stockage afin de le rendre utilisable en lecture-écriture).

·        Les lecteurs interne ou externe

Les lecteurs interne existent de plusieurs type tel que le lecteur de disquette au format 5 ¼ ou 3 ½ il permet de stocker des résultats ou logicielle de petites tailles, le CDRom est aussi un lecteur (seulement lecteur par de stockage en écriture) qui permet de contenir des applications de 650 Mo il existe aussi en externe, un autre lecteur interne ou externe le ZIP décrit à gauche est un jumeau du lecteur de disquette mais son support plus important permet de stocker de 100 Mo à 250 Mo suivant les versions.

Il existe d’autre lecteur tel que le DVD qui permet de contenir 4 Go d’information audiovisuelle ou de logicielle, il est employer en vidéo car il n’est pas nécessaire de le retourner comme son prédécesseur le CD Vidéo d’une dimension similaire au 33 tours. De plus il est compatible à la lecture du simple CDRom de 650 Mo.

Il existe aussi le Graveur le frère jumeau du CDRom mais permettant l’écriture sur un CDRom vierge (ne contenant aucune information) toutes applications (Software) ou son (music) [Mais il est interdit de faire des copies d’un original son avoir obtenu l’autorisation].

·        L’imprimante

 

Il existe 3 types d’imprimante :

·        l’imprimante matricielle ou à aiguille, c’est une    imprimante à impact qui utilise  une tête dotée d’aiguilles se déplaçant ligne à ligne sur tout le document pour produire, au contact d’un ruban encreur, une matrice de points accolés.

·        l’imprimante à jet d’encre est une imprimante non-impact qui trace les caractères et les graphiques avec de minuscules gouttelettes d’encre projetées sur le papier.

·    L’imprimante laser est une imprimante non-impact électrophotographique à haute résolution qui adopte une impression inspirée des photocopieurs à poudre.

·        Le scanneur

 

Périphérique d’entré qui numérise point par point grâce à des capteurs un document imprimé sur papier ou sur autre support ou une photo, la résolution est définie par chaque marque de scanneur mais en générale, elle est de l’ordre de 2000 x 4000 point au format 24 x 36. Le standard TWAIN facilite l’échange entre le PC, logicielle et périphérique de numérisation (scanneur, caméra Webcam, carte de capture vidéo).

 

·                                                                                                               La Webcam

 

 

Caméra servant un visio conférence ou pour naviguer sur le Web, elle est exploitée avec des logicielles pour l’utiliser avec le standard TWAIN, elle travaille comme un appareil photo numérique, donc elle envoie des images successivement très rapidement pour constituer une animation vidéo.

 

 

·                                                                                                               Le modem

 

Périphérique utilisé pour transmettre des informations entre le PC et un support conducteur tel que la ligne téléphonique dans le cas d’Internet, ces données sont converties du numérique (PC) en analogique (Ligne Tel) en son. Remarque il fait le travaille dans les 2 sens.

 

 

Le code Binaire

 

  1. Définition :

 

Qualifié la numérotation en base 2 qui utilise uniquement les symboles 0 et 1. (le succès du binaire en informatique s’explique par le fait qu’un ordinateur distingue seulement  deux états, selon que le courant passe [1] ou ne passe pas [0])

 

  1. Tableau :

 

Binaire

Décimale
0 0 0 0 0
0 0 0 1 1
0 0 1 0 2
0 0 1 1 3
0 1 0 0 4
0 1 0 1 5
0 1 1 0 6
0 1 1 1 7
1 0 0 0 8
1 0 0 1 9
1 0 1 0 10
1 0 1 1 11
1 1 0 0 12
1 1 0 1 13
1 1 1 0 14
1 1 1 1 15

 

  1. Algébre de Boole :

 

Définition :

 

Algébre issue des travaux du mathématicien anglais Geoges Boole (1815-1864) concernant la logique mathémathique. Cette algébre adopte des états qui sont exclusivement VRAIX ou FAUX et définit des table de vérité pour les différentes opérations logiques[ET, OU, NON, etc]qui s’appliquent à des valeurs binaires. Toutes les opérations  arithmétiques qu’effectuent les ordinateurs se fondent sur l’utilisation de composants électroniques, dits portes logiques, qui mettent en œuvre l’algèbre de Boole.

 

Le ET

E1

E2

S
0 0 0
0 1 0
1 0 0
1 1 1

Le OU

E1

E2

S
0 0 0
0 1 1
1 0 1
1 1 1

 

Le NON

E2

S
0 1
1 0

 

  1. Remarque:

 

Tous les µPros ne connaissent pas les signes standards tel que divisé multiplié additionné et soustraire encore moins les opérations complexes tel que les intégrales, alors comment fait-il, avec ses simple opération qu’ils connaissent, ils les combinent pour obtenir une addition .

Le code ASCII

 

     1. Définition :

 

ASCII (American Standard Code for Information Interchange, code standard américain pour l’échange d’information) Code à huit élements, comprenant 7 bits d’information et un bit de parité, utilisé pour coder les caractères lors des transmissions d’informations. Ce code crée en 1963, normalisé en 1967 par l’ANSI et l’ISO. Offre 2^7 = 128 combinaisons différentes, les positions de 0 à 31 et 127 sont réservées aux caractères de contrôle tels que le retour chariot (enter), le saut de ligne, la tabulation, etc. Les autres positions correspondes aux  26 lettres de l’alphabet en majuscule et minuscule, aux dix chiffres de 0 à 9 et à trente-trois symboles, parmi lesquels on trouve les signes de ponctuation. Le caractère d’espacement correspond à la position 32, la lettre A à 65, B à 66, et Z à 90, etc Dans la réalité ce n’est pas les valeurs décimale, mais les représentations binaires de ces valeurs.

Remarque :

Le code ASCII ne contenait que les lettres de l’écriture anglaise et ignorait les signes diacritiques ou les lettres accentuées requis par les langues européennes, une première extention introduisit un bit supplémentaire et ainsi les lettres accentuées, le tilde espagnole et certaines lettres de l’allemand furent intégréesdans les 256 jeux de caractères. Mais cette extention n’est pas normalisée et des divergences s’observent par exemple, entre PC et les Macintosh. Néanmoins la plupart des logicielles courant sont capable de convertir les fichier en provenance des applications les plus fréquentes, quelle que soit la machine utilisée.

     2. Tableau :